bacs  
Georges Moustaki
 
Il nous revient avec un album très moustaki. On ne peut aimer reggiani et ne pas apprécier l'un de ses compositeurs de génie. matthieu
Peter Gabriel - UP live
  On ne peut qu'en redemander. Depuis maintenant que je suis les délires de cet artiste de génie au travers de ses albums et de ces concerts, j'ai acheté d'un bloc le CD et le DVD de sa dernière tournée "Growing Up Tour 2003". matthieu
last - 20/12/03

en boucle    
Serge Reggiani
 
que dire sur ce monsieur de la chanson française si ce n'est qu'il devrait bénéficier du même respect que des trop médiatiques Aznavour ou autres. Je ne peux plus enlever ses CDs de mon balladeur. Un seul regret, peu de dates de concert de l'artiste au 100 chansons en France. matthieu
Coldplay
 
De la bonne vieille pop anglaise comme je les aime. Simple et efficace. Un petit univers dans lequel on rentre facilement et que l'on a du mal a quitter. matthieu
last - 20/12/03


Au huitième jour... LedZep
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"[...] Au huitième jour, comptemplant son oeuvre, Dieu rajoutat Led Zeppelin au paradis éternel, et Dieu vit que cela était bon. Dieu venait de créer la perfection, l'abandon dans l'acte le plus jouissif pour les oreilles". Textes de la Génèse, versets secrets, révélations I, II, III et IV.
[Intro] - Six mois déjà qu'il me lorgnait de l'oeil, le salop, trop cher, inaccessible déraison. Mais voilà au soir du 31 décembre, ennui, folie, envie de jouir et voilà, vient dans mon caddie espèce de petite chienne, on va voir si tu sauras me faire péter les oreilles. Pas toute de suite, laisse encore monter la pression, il faut que ça vienne, les préliminaires sont importants. 23h00 ça y est je suis prêt, nouveau casque à wattmille euros sur les oreilles, son à douf, nous y sommes, fais moi voir ce que tu caches sous ta couverture bleu-orangée. [...]
stéphane issartel  

Scarlet's Walk
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Lorsque nous découvrons l’intriguant concept retenu par Tori Amos pour Scarlet’s Walk – un roman sonore où l’imprécatrice lyrique et sombre d’une Amérique mythifiée plonge profondément dans les méandres de sa nation en confrontant, le long des vagues de l’asphalte chaotique, ses racines irlandaises et cherokees avec les préceptes méthodistes un rien obtus de son père – notre perception est biaisée par son précédent album (le sixième, Strange Little Girl) où la rousse à la voix rauque se grimait pour s’approprier d’un point de vue féminin des chansons d’hommes célébrant l’élégie du beau sexe. Le résultat en était pour le moins inégal dardant une cohérence désenchantée et une violence larvée. [...]
frédéric flament